Artisans et commerçants de Laprugne en 1982

(Population 530 habitants)

cafetiers-restaurateurs

6

Paput A., Picarle,  Burrelier, Oblette René, Thierry, Poirier (hôtel la Loge), dont 3 restaurants

épiciers

3

Paput Alexis, Mathot Marthe (Casino), Chautard (Economats)

charpentiers-menuisiers 

2

Mercier Michel, Bonnet Roland

marchand de bestiaux

1

Feugère André

directeur station de ski

1

Dessertines Robert

mécaniciens

3

Morthon R, Thierry et Coulangeon

directeur plan d’eau

1

Morthon René

taxi-ambulance

1

Fayet A puis Sudre

boulangers-pâtissiers 

2

Sudre  et Picarle

facteurs 

2

Caillaud et Girard

maçon

1

Cloux Bernard

boucher-charcutier 

1

Mondière Paul

entrepreneur de battage 

1

Morthon René

plombiers-chauffagistes

2

Utter et Puvilland

garde-forestier 

1

Chanteloube

ferrailleur

1

Charrasse

bûcheron-débardeur

2

Jeune Roger et Becouze A

fondeur aluminium

1

Cortay, employant 5 à 10 ouvriers

marchand ambulant

1

Chassonnerie dit le Rouquin(fruits, vêtements)

quincaillier

1

Goutorbe

mercier

1

Bresson Raymond

électricien

1

Goutorbe

marchand de journaux 

1

Bresson Raymond

infirmier

1

Marlière Jean

pharmacien

1

Beuvelot Michel

médecin

1

Khoyratty

mercier, marchand vêtements et chaussures

2

Bresson Raymond, Chassonnerie (itinérant)

1982 : Les activités secondaires

Il n’y a  plus que 2 sabotiers occasionnels. Plus personne ne file la laine ni ne fabrique du charbon de bois.

Pour les femmes existent des travaux d’appoint, réalisés à la maison (lainages, gadgets en plastique, payés à la chaîne).

1982 : évolution du commerce et de l’artisanat

  • Le nombre de cafés diminue sensiblement, passant d’une quinzaine à 6. Il n’en reste plus qu’un actuellement.
  • Dans les années 60 est créée une épicerie libre service (Paput) .
  • Beaucoup de petits commerces subsistent en se diversifiant: Le buraliste vend aussi des chaussures, des vêtements, des journaux et de la mercerie. L’électricien vend aussi de la quincaillerie et de l’électroménager.
  • Les fabricants (laine, sabots, galoches, vêtements sur mesure, chapeaux) ont laissé la place à des marchands de produits fabriqués ailleurs (prêt-à-porter, chaussures, charbon de bois…)
  • Les petites unités de production (fonderie, scieries) subsistent difficilement puis disparaissent dans les années qui suivent : Sur les 3 scieries (Cloux, Mercier, Bonnet) qui, fin 1980, employaient une vingtaine de scieurs n’en subsiste plus qu’une.
  • La source Charrier réduit sensiblement ses activités et emploie de moins en moins de personnes, du fait de l’automatisation et de la diminution du nombre de bouteilles.
  • L’école passe de 10 classes en 1968 à 2 classes 13 ans plus tard.

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