Beaucoup d’hommes sont sabotiers (une quarantaine) durant la saison d’hiver. Certains partent fabriquer des sabots dans le Cantal, la Lozère, la Corrèze, la Haute-Loire. Quelques-uns uns même s’y sont mariés et ont ramené leur femme |
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Beaucoup fabriquaient leur charbon de bois (foyers, ronds de charbonnier, encore visibles). Il n’y avait pas de bûcherons ni de scieurs de métier. Chacun coupait et débardait son bois. Les tas étaient stockés devant les maisons. Beaucoup de petites épiceries vendaient aussi quelques articles de mercerie, quincaillerie, graineteries, etc... |
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Avec la laine de petits élevages de moutons, une vingtaine de femmes filaient à la quenouille et au rouet. Une partie de la laine était vendue. Il n’y avait ni rempailleur, ni vannier de métier, ni rétameur sur place (seulement un rempailleur itinérant, venu d’ailleurs). On rempaillait soi-même, avec la paille de seigle.
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On en comptait 14 par an (1 chaque mois mais 2 en juin et 2 en décembre). Elles diminuent puis disparaissent après la guerre de 39-45.
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